la sorciere
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notre dame de paris muzikalinde calinan, giris bolumuyle bir anda dinleyiciyinin konsantrasyonunu kendisine ceken parca.
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notre dame de paris müzikalinde la fête des fous ve le pape des fous sahnesinden sonra frollo'nun gelişiyle başlayan şarkı. frollo'nun fête des fous* sırasında olanları gördükten sonra esmeralda'yı cadılıkla suçlamasını anlatır. (tam ve düzgün bir çeviri için fransızca bilen yazarlara selam ederim)
frollo:
attention !
cett'fille est étrangère
c'est une bohémienne
une sorcière
c'est une chienne
une chatte de gouttières
un animal qui traîne
pieds nus sur les pavés
c'est un péché mortel à regarder
il faudrait la mettre en cage
qu'elle ne fasse plus de ravages
dans les cœurs dans les âmes
des fidèles de notre-dame
ce soir nous la suivrons dans les ruelles
et nous l'enlèverons
nous l'emporterons
nous l'emprisonnerons dans une tourelle
et nous lui montrerons
la religion de jésus-christ
et de sa sainte mère marie
quasimodo:
tu me demanderais
n'importe quoi
je le ferais pour toi
tout ce que tu voudras
tu le sais
tout ce que tu voudras
je le ferais pour toi
je le ferais pour toi -
türkçe'ye şöyle çevrilebilen notre dame de paris şarkısı:
frollo:
dikkat!
bu kız bir yabancı
bu bir çingene
bir büyücü
bu bir köpek
bir kaldırım kedisi
gezinen bir hayvan
çıplak ayakla yollarda
bu dikkat edilmesi gereken ölümcül bir günah
onu kafese kapatmalı
artık zarar veremesin diye
notre-dame'daki inançlıların
ruhlarının kalbine
bu akşam onu sokaklarda takip edeceğiz
onu yakalayacağız
onu götüreceğiz
onu hapsedeceğiz bir kuleye
ve ona göstereceğiz
hz. isa'nın dinini
ve meryem anamızı
quasimodo:
sen benden iste
ne olduğu önemli değil
senin için yaparım
ne istersen iste
biliyorsun ki
ne istersen iste
senin için yaparım
senin için yaparım -
dokuzuncu nesil bir yazar imiş.
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dokuzuncu nesil çaylak.
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manau'nun panique celtique ii le village adlı albümünde yer alan şarkı:
l'oeil vif, le regard dans le coin, l'esprit agressif
avec une patte en moins, la bête ne semble pas craintive
le dos dans le vent, elle attend le moment propice
pour rire de tous ces gens croyants qui espèrent le retour du fils
très loin du parvis, là-bas, sur de l'herbe bien verte
assise à quelques lieux d'ici, impatiente que les portes soient ouvertes
elle a pris ses repères, surplombant le village
elle que l'on dit sorcière s'est donné l'envie de hurler sa rage
mais l'assemblée sait que tous les dimanches se répètent
et qu'en sortant de la messe, des injures viendront d'une trouble fête
d'une très vieille dame, qui a vécu le drame
la perte d'un enfant quand le malheur est tombé sur nos âmes
que la peste soit, que la peste les maudissent ici
que personne dans ce village n'ait le droit de vivre avec l'envie
comme elle les déteste, tous ces gens, ce curé
elle, tout ce qui lui reste, c'est une jambe et le malheur d'être née
ainsi va celle qui n'a jamais oublié
sous des chandelles, les démons du passé
ainsi soit-elle, la femme qui n'a pas brodé
loin dans le ciel, son bonheur est gravé
les corbeaux volent au-dessus du très vieux clocher
et cette soi-disant folle attend toujours pour faire sa logorrhé
encore plus volontaire que tous ces dimanches passés
aujourd'hui c'est l'anniversaire maudit où le mal a frappé
il y a eut la mort, venue avec toute sa violence
choisissant bien ses corps pour les caresser, un vent de souffrance
une maladie venue par l'océan
la vieille y perdit son mari, sa fille, son seul unique enfant
alors la voilà, accusant tous ces bons croyants
tous ceux qui lui avaient dit que la foi guérissait le mauvais sang
et que si leur dieu rappelle tous ceux qu'ils aiment
qu'il suffit d'être heureux pour eux mais la vieille s'est remplie de haine
ainsi va celle qui n'a jamais oublié
sous des chandelles, les démons du passé
ainsi soit-elle, la femme qui n'a pas brodé
loin dans le ciel, son bonheur est gravé
les cloches sonnent, la messe est maintenant terminée
puis un bruit qui résonne, les portes de l'église s'ouvrent
et puis font passer un grand soleil, qui illumine l'autel
et la voix de cette femme, de cette sorcière, couvrant l'assemblée telle :
"n'allez pas au diable, allez donc, joyeux, ripailler
quand vous serez à table, n'oubliez pas les bénédicités
mangez, buvez, en ce dimanche de fête
invitez le curé, donnez-lui donc votre plus grosse assiette"
ainsi rassurés, les gens n'ont pas compris ce calme
la sorcière avait-elle trouvé enfin la paix avec son âme ?
chacun pris son pain pour aller déjeuner
mais personne ne revint, la mort frappa, bien cachée dans le blé
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